Civisme et sécurité

Motoneigiste responsable

Civisme et sécurité

Droits de passage : Nous pouvons pratiquer notre activité hivernale parce que des centaines de propriétaires terriens à travers la province permettent aux Clubs de motoneigistes de circuler sur leur propriété. Le minimum que nous pouvons et devons faire pour exprimer notre reconnaissance à ces propriétaires est de respecter quelques règles de base notamment en restant dans les sentiers, en respectant les limites de vitesse et l’environnement, et en réduisant au maximum le bruit auprès des zones habitées.

Quelques conseils : La motoneige est un sport motorisé et comme tout sport motorisé la prudence est de mise :

  • éviter de consommer de l’alcool et autres drogues,
  • toujours bien garder la droite (particulièrement quand il est impossible de voir si des véhicules viennent dans notre direction),
  • respecter les limites de vitesse en tout temps,
  • réduire la vitesse sur les sentiers étroits, les courbes et dans les zones où la faune est présente,
  • utiliser les signaux de la main approuvés par le Conseil canadien des organismes de motoneiges (CCOM) (voir https://fcmq.qc.ca/fr/securite-informations/signaux-de-la-main/ pour une description de ces signaux)
  • aider les motoneigistes en difficulté,
  • aviser les proches de son itinéraire surtout lorsqu’on se déplace seul,
  • avoir un téléphone portable avec soi et respecter la loi en tout temps.

Respect de la faune

Les chevreuils sont très nombreux sur notre territoire, ils font partie en quelque sorte de notre marque de commerce. Ils utilisent beaucoup les sentiers de motoneige où la neige est durcie car ils peuvent s’y déplacer plus facilement qu’en forêt à la recherche de nourriture et d’eau.  Dans notre région, les chevreuils côtoient sans crainte les habitants et ils se sont habitués à la présence des motoneiges. Ils ne sont pas effrayés et, au contraire, ils sont souvent curieux à notre approche. Il faut donc redoubler de prudence dans les zones où ces animaux sont présents, éviter de les effrayer en s’approchant d’eux à basse vitesse et en leur laissant le temps de sortir du sentier en toute sécurité. A noter que les dindons sauvages sont aussi de plus en plus nombreux sur notre territoire. On peut aussi, parfois, apercevoir des orignaux.